Lundi dernier, la police arrêtait 4 dealers à Tremblay-en-France. 2 jours après, les dealers mettaient le feu à un bus. Et si pour régler le problème les dealers devenaient gestionnaires d’un réseau de transport en commun ?
Imaginons que les dealers prennent en charge une ligne de bus : le bus deviendrait une « épicerie » mobile : les dealers organiseraient un circuit pour se rendre chez les consommateurs. Ce circuit pourrait fonctionner comme une ligne de bus standard qui transporte des usagers. Fini les dealers qui squattent les cages d’escaliers, fini le risque de se faire brûler son bus et, surtout, ce serait du deal « équitable » plus respectueux de l’environnement via une réduction des déplacements en voiture.
Exemple fictif sur Tremblay-en-France :
Le commerce de cannabis classique :
L’organisation d’une ligne de bus par les dealer :
Et avec des dealers à la tête d’une ligne de bus, on va entrer dans une autre symbolique pour les véhicules. Parce qu’un trafiquant qui peut gagner jusque 550 000 euros par an ne roule pas en petite navette électrique, mais plutôt dans ce genre de choses :
Ça pourrait donner ça pour les bus :
Enfin, une ligne de bus gérée par des dealers constitue également un bon moyen pour améliorer le sentiment de sécurité dans les transport en commun :